
Poème du 24 avril 2016
nuit si grave
ment
sur le mystère
de l’aube
noyée
dans l’aile
de l’hirondelle
d’argile
si fragile
et tranchante
à la hanche
l’ange moissonne
l’incendie
de cire
et du silence
vers toi errant
comme la langue
à la bouche
des jours
ne remet
à plus tard
l’amour pur
de la nuit
Michel Eckhard Elial
- Posted by shemesh
- On 24 avril 2016
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