
Un poème d’Eliaz Cohen
Devant Ariel
Ariel si belle, Ariel
Novo Petersbourg sur des collines parfumées
arriver jusqu’à toi
chevalier en armure
Tes blondes gazelles citadines
ne sont pas capturées par les lentilles de la nuit
vers toi
le canon est dirigé
Cette nuit les étoiles tombent devant moi
tes églises, Ariel, de cloches carillonnent
à minuit le baiser
Bientôt le baiser
car tu es l’aimée
dans une multitude de crêtes alignées
j’allonge les doigts pour ouvrir
les écorces de la nuit
Toucher la beauté de ton visage la tête des enfants
les questions palpitent dans le creux de la main
quand mes doigts s’étendent et s’égrènent:
Sois bénie et protégées en Son nom
Traduction © Michel Eckhard Elial
Les jours terribles
- Posted by shemesh
- On 6 juillet 2016
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