Quand la maison revient
« D’abord, une « maison qui revient », c’est une maison qui n’était pas là ; et comme une résidence partie ailleurs est une absurdité (si l’on est parti habiter autre part, on y est ; résider se vit par principe sur place !), alors cette maison qui revient ne peut être un domicile, un lieu d’habitation (personnel ou socio-politique) ; au mieux, une résidence vient (quand on est au milieu d’elle, en train de la construire, comme à l’instant même mon bruyant voisin), elle ne revient pas », dira Marc Wetzel.
Dimensions : 22,5 x 15,5cm – 50 pages
Publié en 2016, couverture de Robert Lobet
Dimensions : 22,5 x 15,5cm – 50 pages
Publié en 2016, couverture de Robert Lobet
PRIX : 20€
Née à Tel Aviv, Diti Ronen a publié 6 livres de poésie et des essais. Traduite en plusieurs langues, son œuvre poétique est remarquée par plusieurs prix littéraires nationaux et internationaux. Elle travaille avec musiciens et plasticiens (un projet de livre en cours avec Isis Olivier aux Éditions Encre & Lumière).
Acteur important dans la vie culturelle israélienne, elle enseigne le théâtre et les arts à l’Université Hébraïque de Jérusalem. Traduite dans plusieurs langues et présente dans plusieurs festivals internationaux, elle participe en 2014 au Festival des Voix de la Méditerranéen de Lodève.
Son recueil “The return of the House and its wanderings” (Ha-kibbutz ha-mehu’had, Tel-Aviv) est paru en hébreu. En français : « Une maison fissurée de poèmes », Gros Textes, 2014. « Quand la maison revient », Levant, paru en 2016.